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 Trois périodes de ma carrière aux PTT au bâtiment d’Arcueil (Val-de-Marne).

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roger15

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MessageSujet: Trois périodes de ma carrière aux PTT au bâtiment d’Arcueil (Val-de-Marne).   Trois périodes de ma carrière aux PTT au bâtiment d’Arcueil (Val-de-Marne). EmptyDim 3 Nov 2024 - 18:25

Trois périodes de ma carrière aux PTT au bâtiment d’Arcueil (Val-de-Marne).




Ce bâtiment était situé au 67 avenue Vladimir Illich Lénine 94110 Arcueil) ; avec un accès par la station du RER B “Laplace”.


C’est la récente réponse du mardi 17 septembre 2024 de Zouille sur le “Forum des Postiers” postée le mardi 17 septembre 2024 [voir : ( [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ) concernant le “Centre National des Valeurs Mobilières” [CNVM], qui m’a remémoré ces trois épisodes de ma carrière aux PTT il y a déjà de très nombreuses années (puisque le premier épisode date du lundi 16 avril 1984).

• 1er épisode : dans le cadre de ma formation “d’Inspecteur Principal” à l’ING (Institut National de Gestion) à Évry (Essonne), mon stage de “Formateur Principal” au “CRF” (Centre Régional de Formation) de la “DPIF Ouest” (Direction de la Poste en Ile-de-France Ouest) 67 avenue Vladimir Illich Lénine 94110 Arcueil) en deux parties de deux semaines chacune (la première du lundi 16 avril 1984 au vendredi 27 avril 1984 ; la seconde du lundi 28 mai 1984 au vendredi 8 juin 1984).

Je précise que si je suis aussi précis sur les dates et les faits mentionnés dans l'actuel sujet c’est qu’à l’époque j’étais un “diariste” (c’est-à-dire que je tenais un journal personnel où je notais tout ce qui m’arrivait au jour le jour ; j’ai tenu ce journal personnel pendant 50 ans, de 1970 à 2020, donc pendant 50 ans !!!… puis, je l’ai arrêté il y a presque cinq ans car ça me prenait trop de temps pour le recopier au propre sur des agendas).

Le lundi 16 avril 1984 je monte au 4ème étage de ce bâtiment afin de me présenter à l’INP (l’Inspecteur Principal) André T., responsable du CRF d’Arcueil pour évoquer avec lui mon stage à son CRF qui avait pour thème « L’Équipe Pédagogique ». Ce jour-là se sont produits deux moments (à l’époque je l’ignorais bien sûr) qui reviendront dans ce sujet :

• d’abord, le midi j’ai déjeuné au “Restaurant Administratif” d’Arcueil (que tout le monde appelait en pratique “la cantine”) ;

• ensuite, l’après-midi j’ai regardé une séance de travaux pratiques de guichet pour les jeunes contrôleurs externes stagiaires du “Cours n°2”. En effet, il y avait alors trois cours simultanés de jeunes contrôleurs externes stagiaires. J’ai bien aimé cette séance de travaux pratiques de guichet car elle me remémorait mon stage d’exécution de quatre mois au bureau de poste de Sceaux (Hauts-de-Seine) lors de ma formation d’Inspecteur Élève à l’INCA (Institut National des Cadres Administratifs) d’Évry (Essonne) [voir : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ].

J’espérais en mon for intérieur que l’on m’autoriserait à participer à une telle séance de travaux pratiques de guichet lors d’une des deux parties de mon stage de “Formateur Principal” au CRF d’Arcueil.

Le jeudi 19 avril 1984 j’ai assisté, le matin, à une séance de travaux pratiques de guichet pour des jeunes contrôleurs externes stagiaires du “Cours n°3” ; le lendemain matin j’ai de nouveau assisté à une séance de travaux pratiques de guichet pour des jeunes contrôleurs externes stagiaires du “Cours n°3”.

La semaine suivante (du mardi de Pâques 24 avril 1984 au vendredi 27 avril 1984) il n’y avait pas d’élèves au CRF d’Arcueil car les jeunes contrôleurs externes stagiaires du “Cours n°3” (le seul au CRF d’Arcueil en formation durant cette semaine) étaient en stage pratique dans un bureau de poste. J’en ai profité pour commencer à rédiger mon rapport sur « L’Équipe Pédagogique » du CRF d’Arcueil. J’ai toutefois, le jeudi 26 avril 1984 après-midi, accompagné une “Formatrice Assistante” au CRF d’Arcueil, faire visiter le centre de tri postal de la gare Montparnasse (où j’avais si longtemps été en fonction), à treize élèves (AEX et CT externes) des Télécommunications en “cours premier emploi” en visite de deux jours dans un service de La Poste dans le cadre de « la connaissance réciproque des autres services des PTT ». Ensuite, je les emmené à pied voir où était situé le « Musée de la Poste » pour la visite du lendemain matin. Le vendredi matin 27 avril 1984 ces 13 élèves télécommunicants ont visité, accompagnés par la “Formatrice Assistante” au CRF d’Arcueil et moi-même, le « Musée de la Poste » ; ça leur a bien plus !…

Le lundi 28 mai 1984 a commencé la seconde partie de mon stage de “Formateur Principal” au “CRF” d’Arcueil.

Le mardi 29 mai 1984 l’après-midi mon souhait a été exaucé : j’ai assisté et même participé à une séance de travaux pratiques de guichet pour 21 jeunes contrôleurs externes stagiaires, bien sympathiques, du “Cours n°1” qui venaient tout juste d’être nommés Contrôleurs le mercredi 2 mai 1984. Ce qui m’a semblé très curieux — et même totalement incohérent — c’est qu’ils seront affectés à la fin de leur formation, non au guichet d’un bureau de poste, mais aux CCP ou à la CNE… Mon rôle a été de tenir le rôle d’un “client” en leur posant des questions sur la réglementation postale (dont ils devaient trouver la réponse en cherchant dans le “Guide Officiel”. Cette séance m’a emballée.

Le lendemain matin (mercredi 30 mai 1984) j’ai de nouveau assisté et même participé à une séance de travaux pratiques de guichet pour ces jeunes contrôleurs externes stagiaires du “Cours n°1”. Mon rôle a été cette fois de jouer au “guichetier” [j’ai toutefois continué à leur poser des questions sur la réglementation postale (dont ils devaient trouver la réponse en cherchant dans le “Guide Officiel”]. Cette deuxième séance m’a de nouveau emballée.

Le lundi 4 juin 1984 l’après-midi j’ai pour la première fois fait à ces 21 jeunes contrôleurs externes stagiaires du “Cours n°1” (qui commençaient donc à me connaître et dont je ressentais que le courant passait bien entre eux et moi) un “cours de réglementation postale” [ça me rappelait mes cours de réglementation postale lorsque que j’étais Inspecteur, formateur au Centre de Formation du centre de tri de la gare Montparnasse] concernant « Les bases de l’acheminement des objets transportés par la Poste » . J’ai bien sûr insisté sur les ambulants postaux, dont ils n’avaient jusqu’alors jamais entendu parler. Cet aspect de mon intervention les a beaucoup intéressés (comme je le constaterai dans quelques mois).

Le mercredi 6 juin 1984 le matin j’ai fait aux 19 jeunes contrôleurs externes stagiaires du “Cours n°3” [qui devaient être affectés dès le lundi 25 juin 1984 dans des bureaux de poste des Yvelines, des Hauts-de-Seine, et du Val-d’Oise] un cours sur « Les obligations qui s’imposent aux agents des PTT » en insistant surtout sur « L’inviolabilité des correspondances, et le secret professionnel » vu que demain matin ils vont prêter serment devant le Tribunal d’instance de Villejuif (Val-de-Marne).

Le jeudi 7 juin 1984 le matin j’ai fait aux 21 jeunes contrôleurs externes stagiaires du “Cours n°1” une deuxième intervention sur « La réexpédition, la distribution des objets au guichet, et le retour à l’envoyeur ». J’en avais terminé avec eux et ne pensais plus les revoir un jour…

Enfin, le vendredi 8 juin 1984 j’ai terminé mon stage au CRF d’Arcueil, en participant à une séance de travaux pratiques de guichet pour les 19 jeunes contrôleurs externes stagiaires du “Cours n°3”, en tenant le rôle du “caissier”. Ces 19 jeunes contrôleurs prendront leur service °3” le lundi 25 juin 1984 dans des bureaux de poste des Yvelines, des Hauts-de-Seine, et du Val-d’Oise (le jour où je commencerais moi-même mes activités d’Inspecteur Principal, Formateur Principal au CRF de la Direction des Services ambulants). J’en avais terminé également avec eux et ne pensais plus les revoir un jour…

• 2ème épisode : un certain vendredi 28 septembre 1984.

Je me trouvais vers 20 heures à la cantine au 2ème étage du centre de tri de la Gare Montparnasse lorsqu’un jeune homme s’approche en souriant de moi et me demande si je suis bien Formateur à la DSA (Direction des Services Ambulants) ? Je lui réponds que oui et lui demande s’il était un de mes anciens élèves et de quel cours il s’agissait ?

Je suis très surpris lorsqu’il me dit « Oui, je suis un de vos anciens élèves, je vous ai connu lors de mon cours de Contrôleurs externes ». Or, je n’avais jamais fait jusque-là à la DSA en tant que formateurs aucun cours de contrôleurs externes [le seul que je ferai sera celui, l’année suivante, au CRF de la DSA, du mercredi 3 avril 1985 au vendredi 31 mai 1985 ; voir : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ].

Devant ma perplexité et constatant que je ne voyais pas où j’avais pu l’avoir en cours il me dit alors « Ce cours de Contrôleurs externes a eu lieu ce printemps au CRF d’Arcueil, je faisais partie du “Cours n°1”, d’ailleurs, il y a là, à cette table de la cantine, sept autres élèves de ce “Cours n°1”, voulez-vous leur parler ? ». Je lui réponds affirmativement et le suis à cette table de la cantine et leur demande dans quels services ils ont été affectés ? Et alors, ils me font tous part de leur grand mécontentement !!!… : ils devaient, bien qu’ayant suivi au CRF d’Arcueil un cours de “guichetier” (auquel j’avais participé) avant être affectés soit aux Chèques Postaux, soit à la Caisse Nationale d’Épargne ; eh bien, c’est au service du CNVM (Centre National des Valeurs Mobilières) des CCP Montparnasse qu’on les a finalement affectés pour s’occuper de “la dématérialisation des Titres Mobiliers” sous la surveillance permanente de caméras pour voir s’ils ne subtilisaient pas un de ces fameux titres !… Ces huit contrôleurs étaient ce soir-là très remontés contre la Poste !…

Ce qui m'a fait plaisir, c'est qu'ils m'ont dit qu'ils avaient surtout retenu de ce que je leur avais dit lors de leur cours c'était mon intervention sur les bureaux ambulants de la poste.

Si vous étiez un de ces 21 très sympathiques jeunes contrôleurs externes stagiaires du “Cours n°1” au CRF d’Arcueil (ou alors, un des 19 contrôleurs externes stagiaires du “Cours n°3”), envoyez-moi un message public (ou privé) au “Forum des Postiers”, car même quarante ans plus tard, j’aimerai bien savoir quel fut le restant de votre carrière postale ?

Je suppose que certains d’entre vous, surtout les plus jeunes, sont encore en activité en ce 3 novembre 2024…

Le vendredi 30 juin 1989 à 14 heures j’ai quitté, très ému, le Centre Régional de Formation de la DRANI (Direction des Réseaux d’Acheminements Nationaux et Internationaux), l’ancienne DSA (Direction des Services Ambulants) 11, rue du Pré 7508 Paris, où j’officiais en tant qu’Inspecteur Principal et Formateur Principal depuis 5 ans et 5 jours (très précisément depuis le lundi 25 juin 1984). Là, ce poste m’avait procuré énormément de satisfactions (satisfactions que je n’aie plus jamais retrouvées par la suite dans les différents services auxquels j’ai été affecté tant à La Poste qu’à France Télécom) : mes 25 cours de “Contrôleurs Promus” (des AEX SG devenus Contrôleurs par concours interne) ; mon rôle de “Maître de Stage” pour le suivi des Inspecteurs-Élèves en formation dans les INCA d’Évry, Lyon et Toulouse, nommés à la DSA à la fin de leur cours ; les cours nationaux de CDTX (Conducteurs de Travaux) et de CTDIV (Contrôleurs Divisionnaires) nommés dans des établissements postaux en France et sur les services ambulants ; mes très nombreuses visites au “Musée de la Poste” pour des agents des PTT lors de leurs cours très variés ; la Présidence des examens de tri TD et TG (Tri par Départements et Tri Général), ainsi que la Présidence des examens de tri Étranger.

Tout cela me plaisait énormément, mais au bout de cinq années j’en avais fait largement le tour et voulait voir l’autre Maison des PTT : les Télécommunications. Le lundi 3 juillet 1989 j’ai commencé une carrière de Télécommunicant au Service Social de la “DRIF” (Direction Régionale d’Ile-de-France) ; 8 boulevard de Vaugirard (Paris 15ème arrondissement). En réalité le Service Social de la DRIF était situé 18 rue Armand Moisant (Paris 15ème arrondissement).

Mes débuts à France Télécom furent très décevants car je ne fus pas du tout affecté sur le poste prévu pour moi, tout ça à cause de remises permanentes des rôles des INP du Service Social de la DRIF… Bref durant toute la fin de l’année 1989 et toute l’année 1990 je me suis en permanence demandé si j’avais fait le bon choix en demandant ma mutation pour France Télécom…


• 3ème épisode : un certain mercredi 19 juin 1991.

Ce troisième épisode concerne l’époque où, de 1989 à 1992, je suis passé à France Télécom (remarquez cependant que j’étais alors au début toujours dans les PTT).

Vu qu’à la DRIF (Direction Régionale d’Ile-de-France) de France Télécom j’étais au Service Social, je devais en juin 1991 assurer le contrôle au deuxième niveau des Restaurants Administratifs de France Télécom d’Ile-de-France alors que le contrôle du premier niveau incombait aux “DO” (“Directions Opérationnelles” de France Télécom) ; il y en avait une pour chaque département de la banlieue parisienne et plusieurs pour Paris-même [j’avoue avoir oublié leur nombre précis ; je me souviens seulement aujourd’hui de celle située à la prestigieuse adresse du 103 rue de Grenelle (Paris 7ème arrondissement) que j’ai évoqué un jour sur le “Forum astronomique Webastro” , voir : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ]. Mais en plus, le Service Social de la DRIF assurait au premier niveau le contrôle de trois Restaurants Administratifs : celui de Picpus, celui de Montparnasse, et celui d’Arcueil.

Mes collègues de la DRIF m’avaient mis en garde : « Attention, le Président élu du Conseil d’Administration Restaurant Administratif d’Arcueil est un syndicaliste de la CGT ultra-politisé et énormément remonté contre les autorités postales supérieures, fais donc très attention à ce que tu vas lui dire lorsque tu iras sur place au Restaurant Administratif d’Arcueil le rencontrer pour la première fois ».

Ce mercredi 19 juin 1991 je me rends donc au Restaurant Administratif d’Arcueil rencontrer, dans un imposant bureau, Monsieur Fernando C. (cégétiste, Président élu du Conseil d’Administration du Restaurant Administratif d’Arcueil) et son Trésorier Monsieur Pl [s’il me lisait par hasard qu’il m’excuse de ne pas avoir retrouvé son prénom].

Fernando C m’accueille en me disant « Alors, c’est vous, Monsieur L, Inspecteur Principal, qui venez de La Poste !… ». Je lui réponds alors « Oui, je suis Inspecteur Principal, qui vient de La Poste où j’ai commencé au bas de l’échelle comme AEX SG au Centre de Tri de la Gare Montparnasse à trier manuellement des lettres. Ensuite, j’ai passé des concours des PTT pour m’élever dans la hiérarchie postale… ». Mes deux interlocuteurs ont été extrêmement surpris que j’aie commencé ma carrière avec un si petit grade…

Fernando C me demande alors « D’où êtes-vous Monsieur L. ? » Je lui dis : « Je suis né non loin d’Arcueil, à Antony, où il y a une statue à la gloire du Maréchal Leclerc, en bas de laquelle est inscrit le texte du “Serment de Koufra” ; d’ailleurs, dans ma jeunesse nos instituteurs d’Antony veillaient à ce que nous connaissions par cœur le texte du fameux “Serment de Koufra” » Fernando se tourne alors vers son collègue, le Trésorier, et lui demande s’il connaissait ce fameux “Serment de Koufra”, il lui répond que non, ce qui contrarie beaucoup Fernando, lequel se met alors à le déclamer et j’emboîte le pas en déclamant comme lui ce texte prononcé par Philippe de Hauteclocque, dit le colonel Leclerc le dimanche 2 mars 1941 à Koufra en Tripolitaine italienne (l’actuelle Lybie) : « Jurez de ne déposer les armes que le jour où nos couleurs, nos belles couleurs flotteront sur la cathédrale de Strasbourg ». [Voir : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ].

Ensuite, nous avons évoqué la colonne du capitaine Raymond Dronne qui, avec en majorité des Républicains Espagnols de la 9ème compagnie du Régiment de Marche du Tchad (surnommée “la Nueve”) fut la première à entrer à Paris, par la Porte d’Italie le jeudi soir 24 août 1944 [voir : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ]. Fernando était ravi que j’aborde cette partie de l’histoire de la Seconde Guerre Mondiale.

Ensuite, Fernando m’a invité au Restaurant “Le Petit Plus” d’Arcueil qu’il avait spécialement réservé pour moi en exigeant du gérant principal que nous ne soyons seulement que tous les trois à déjeuner (un festin de Roi dont Fernando avait soigneusement choisi le menu), ceux qui ont déjà déjeuné au “Petit Plus” savent qu’il était le plus souvent bondé !…

Ce que Fernando ignorait c’est que je voulais devenir professeur d’histoire et de géographie (donc l’histoire de la Seconde guerre mondiale était très connue par moi) et pour cela j’avais passé en juin 1966 le concours d’entrée de l’École Normale de Paris, mais je n’avais pas été admis car j’étais trop faible en Anglais, en Mathématiques, et en Sciences. Résultat : je suis entré aux PTT en novembre 1966, j’avais alors 17 ans et 2 mois…

Par la suite je n'ai eu que de bons contacts avec Fernando C. et son Trésorier Monsieur PL.

Merci d’avoir lu jusqu’au bout ce très (trop ?) long message.

Bien cordialement à vous tous.

Roger le Cantalien. Shocked
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MessageSujet: Re: Trois périodes de ma carrière aux PTT au bâtiment d’Arcueil (Val-de-Marne).   Trois périodes de ma carrière aux PTT au bâtiment d’Arcueil (Val-de-Marne). EmptyLun 4 Nov 2024 - 20:29

COMPLÉMENT A MON MESSAGE D'HIER : APRÈS LE MARDI 1er JANVIER 1991 (ENTRÉE EN APPLICATION DE LA LOI N° 90-634 DU LUNDI 2 JUILLET 1990 [DITE “LOI PAUL QUILÈS”] ENTRAÎNANT L’ÉCLATEMENT DES PTT EN DEUX ENTITÉS DISTICTES : LA POSTE ET FRANCE TÉLÉCOM) J’ÉTAIS COINCÉ COMME UN RAT DANS UNE SOURICIÈRE EN NE POUVANT PAS EN PRATIQUE QUITTER FRANCE TÉLÉCOM AFIN DE REVENIR A LA POSTE.




Le mardi 1er janvier 1991 j’étais donc INP (Inspecteur Principal) au Service Social de la DRIF (Direction Régionale d’Ile-de-France) de France-Télécom.

Le cercle dirigeant de “La Poste” et de “France Télécom” relayait sans cesse les propos rassurants du Ministre des “PTE” [Postes, Télécommunications et de l’Espace] Paul Quilès disant que le personnel affecté à l’entité “Postes” et à l’entité “Télécommunications” n’avait aucune crainte à avoir car parmi eux ceux qui étaient fonctionnaires le resteraient si ils le désiraient et que de toute façon ils pourraient faire des fiches de vœux pour passer d’une entité à l’autre.  

Dès cette date du mardi 1er janvier 1991 j’avais compris qu’il me fallait quitter au plus vite “France Télécom” pour revenir à “La Poste”, vu que si j’avais fait des fiches de vœux pour les Télécommunications c’était uniquement pour enrichir mon CV afin de pouvoir devenir (une fois revenu dans quelques années à “La Poste”) receveur du bureau de Poste d’Antony (Hauts-de-Seine), ma ville natale [voir : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ].

Je n’ai pas du tout cru aux propos rassurants de Paul Quilès et de ses sbires, et l’avenir m’a très rapidement donné raison…

J’ai donc recherché sur des fiches d’emplois de la “Bourse Nationale d’Emplois de La Poste”, qui paraissaient chaque mois, les postes à “La Poste” qui recherchaient des cadres supérieurs, donc des DA et des INP. Mon Directeur au Service Social de la DRIF (René Andréani) m’a assuré que je pouvais à tout moment prendre rendez-vous avec ces services de “La Poste” qui offraient des postes aux INP, comme moi.

J’ai contacté en 1991 puis en 1992 de nombreuses directions régionales et des services postaux en Ile-de-France pour obtenir un poste d’INP chez eux [notamment le “Foyer de Cachan” (Val-de-Marne)] qui m’aurait bien plu, mais après plus d’un mois d’attente les responsables de ce Foyer m’ont annoncé qu’ils avaient retenu un autre postulant… Cela m’a énormément contrarié !…

A côté de cela j’ai contacté bien d’autres directions de La Poste en région parisienne, à titre d’exemple j’ai contacté aussi la “DRS” (“Direction du Réseau Sud” [ex “DBASO” et “DBASE”, “Direction des Bureaux Ambulants du Sud-Ouest” et “Direction des Bureaux Ambulants du Sud-Est”], située au 17 Boulevard d’Austerlitz (Paris 13ème arrondissement), près la gare d’Austerlitz, et ai été reçu le lundi 9 décembre 1991 par le DA (Directeur Adjoint) Jean-Marie Richard : même réponse négative qu’au foyer de Cachan…

Comme j’avais été, avant d’aller à France Télécom, pendant assez longtemps “Formateur Principal” à la DSA/DRANI, j’ai contacté le Service de la Formation de la “DPP” (“Direction de la Poste de Paris”) : toujours la même réponse négative…

C’est là que j’ai compris que j’avais sans doute fait le mauvais choix en 1989 en postulant pour aller dans un service à France Télécom… J’avais la très désagréable impression d’être un rat coincé dans une souricière d’où je ne pourrais pas m’évader !… Mon épouse Josette m’a alors dit « Tu vois Roger, je t’avais déconseillé d’aller à France Télécom et de rester à La Poste, tu ne m’as pas écouté, et maintenant tu ne pourras hélas plus jamais retourner à La Poste !… ».

Cependant, il restait un mystère que je n'arrivais pas à solutionner : quelle était la raison étrange, qui faisait que je n’arrivais pas à détecter, pour laquelle tous les services de La Poste que je contactais me disaient « Très bien Monsieur L., merci d’être venu, nous vous recontacterons pour vous faire savoir notre décision » Et, bien sûr, je n’étais jamais recontacté… ?

En plus, pour tout arranger, France Télécom avait décidé de dissoudre toutes ses Directions Régionales (dont la DRIF) en demandant à tout son personnel qui y était affecté de se trouver un “point de chute” dans une “DO” (“Direction Opérationnelle”). Étant un ancien postier, je savais évidemment qu’aucune “DO” de Paris et de l’Ile-de-France ne voudrait me recruter parmi ses effectifs, bien au contraire…

J’en était arrivé à me demander s’il ne fallait pas que je démissionne de France Télécom pour essayer de trouver une place dans le privé…

Et puis un jour, j’ai enfin su la raison du refus de tous les services de La Poste de me reprendre.

Le lundi 16 mars 1992 l’après-midi je vais me présenter à la Direction de La Poste de Paris où je suis reçu par un très sympathique Inspecteur Principal du Personnel, François D. que j’avais vu plusieurs fois entre 1987 et 1988 (alors qu’il était Inspecteur) au Centre des Concours d’Antony où il représentait la Direction Régionale de La Poste de Paris et moi la DRANI, et nous nous étions tutoyés. Nous avions même déjeuné une fois, durant la pause de midi, avec d’autres membres des quatre jury, à l’excellent restaurant oriental d’Antony “La Tour de Marrakech” d’un succulent “Couscous du Bédouin”, que tous avaient apprécié.

François m’écoute raconter mon histoire postale, lit mon CV, et termine par la phrase rituelle « Très bien Roger, merci d’être venu à notre Direction, nous te recontacterons pour te faire savoir la décision de notre Direction ».

Je me lève pour partir, et juste avant de franchir la porte de son bureau je lui dis « Pourrais-tu me dire franchement pourquoi aucun service de La Poste que j’ai contacté ne semble vouloir me recruter ? ».

François s’approche de moi et me dit, presque en chuchotant « Ce que je vais te dire est “OFF” : tu ne pourras jamais revenir à La Poste car elle a décidé de supprimer toutes ses Directions Régionales et de les remplacer par de, beaucoup moins nombreuses, “DT” (“Délégations Territoriales”) et qui comprennent donc beaucoup trop de Cadres Supérieurs, des DA et des INP, qu’elle cherche à recaser ailleurs. Il n’est donc pas question pour La Poste de recruter un INP comme toi (même si tu as fait presque toute ta carrière à La Poste) venant de France Télécom ». Je l’ai remercié pour sa grande franchise…

Après cela j’ai alors très sérieusement décidé de démissionner de France Télécom et de rechercher un point de chute dans le privé !…

Et puis, un jour l’incroyable s’est produit : je reçois un coup de fil du DA Jean-Marie Richard [que j’avais déjà vu à la DRS (Direction du Réseau Sud) près de la gare d’Austerlitz le lundi 9 décembre 1991 qui me dit « Monsieur L., êtes-vous toujours désireux de revenir à La Poste ? Vu que vous avez travaillé à la DSA/DRANI vous connaissez bien le milieu des Ambulants ; nous sommes maintenant à la DRS (Direction du Réseau Sud) située à Noisy-le-Grand, en Seine-Saint-Denis.

Seulement, si vous acceptez le poste que nous vous proposons, il vous faudrait aller de nuit sur les différents Services Ambulants partant de la gare Montparnasse, de la gare Saint-Lazare, du PLM, et d’Austerlitz. Seriez-vous désireux d’accepter notre proposition ? ».

Je lui ai répondu affirmativement et ainsi j’ai pu le mardi 1er septembre 1992 revenir à ma bonne vieille “Poste” à Noisy-le-Grand ; après être resté 3 ans, 1 mois et 25 jours au “Service Social de la DRIF” à France Télécom (très précisément depuis le lundi 3 juillet 1989). Ce qui m'a beaucoup ému, c'est que pratiquement tout le monde au “Service Social de la DRIF” (et même les responsables des coopératives et des trois restaurants administratif dont j'assurais le tutelle [en premier lieu Ferdinand C. et son trésorier Monsieur Pl. du Restaurant Administratif d'Arcueil] m'ont fait part de leurs regrets de me voir les quitter, m'assurant qu'ils m'avaient apprécié et m'ont souhaité un bon retour à La Poste. Il est vrai qu'au “Service Social de la DRIF” la plupart du personnel n'avait alors pas encore trouvé de “point de chute“ dans une “DO” ou dans un autre service de France Télécom en Ile-de-France (recruter une personne ayant fait du “social“ n'était pas spécialement souhaité par ces services).

Une fois sur place à La Poste à Noisy-le-Grand, j’ai très vite compris pourquoi ils voulaient me recruter assez rapidement : les Ambulants avaient appris qu’ils allaient très bientôt disparaître, et un soir ceux du Sud-Est ont brûlé des palettes devant une motrice de la SNCF retardant de plusieurs heures le départ du “TPA” (“Train Poste Autonome”) de Paris à Marseille. Craignant que ce genre d’incident ne se reproduise dans toutes les gares d’où partaient les trains postaux, ils ont demandé aux INP de la DRS d’aller de nuit dialoguer avec eux. Or, une majorité de ces INP étaient des femmes, la plupart avec des enfants en bas-âge, qui ont refusé d’aller voyager de nuit dans des wagons-poste.

C’est pourquoi on a eu recours à moi, d’autant plus que j’étais un ancien “Formateur Principal” à la DSA/DRANI qui saurait adapter mes propos à chaque groupe d’Ambulants que je visiterais de nuit dans leurs wagons..  

Merci les Ambulants de m’avoir permis de revenir à ma bonne vieille “Poste”.   Very Happy    

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Trois périodes de ma carrière aux PTT au bâtiment d’Arcueil (Val-de-Marne). Empty
MessageSujet: Re: Trois périodes de ma carrière aux PTT au bâtiment d’Arcueil (Val-de-Marne).   Trois périodes de ma carrière aux PTT au bâtiment d’Arcueil (Val-de-Marne). EmptyMer 6 Nov 2024 - 18:10

DEUXIÈME COMPLÉMENT : COMMENT S’EST DÉROULÉE MA CARRIÈRE POSTALE APRÈS MON RETOUR A LA POSTE LE MARDI 1er SEPTEMBRE 1992 JUSQU’À LA FIN DES SERVICES AMBULANTS, PUIS ENSUITE JUSQU’AU LUNDI 6 DÉCEMBRE 1999 QUI FUT MON RÉEL DERNIER CONTACT PHYSIQUE AVEC LA POSTE EN TANT QUE POSTIER.


Revenu donc à La Poste le mardi 1er septembre 1992 à la DRS (Direction du Réseau Sud) située à Noisy-le-Grand (Seine-Saint-Denis) j’avais pour mission de préparer les esprits des postiers ambulants sur la fin, inévitable, d’ici deux à trois ans, de leurs services et de penser à leur reconversion pour la fin de leur carrière postale. C’est surtout sur le TPA (Train Poste Autonome) Lyonnais que je me suis rendu en soirée pour m’entretenir avec les postiers travaillant dans tous les services de ce TPA ; j’ai roulé en plus avec l’ambulant “demi solo” Paris à Besançon et très souvent avec l’ambulant intégralement “solo” Paris à Chambéry (dont j’étais le dernier INP circonscriptionaire).

Une petite anecdote à ce propos (que j’ai déjà racontée sur le “Forum des Postiers” ; voir :   [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ):

Un soir je vais sur un service du “TPA Lyonnais” et demande à l'inspecteur Central qui le dirigeait de réunir tous ses agents des différents services de ce “TPA” pour entendre mon petit discours sur ce point : qu'allaient-ils devenir une fois les ambulants disparus ? J'insiste sur le fait qu'ils sont avant tout des “postiers” avant d'être des “ambulants” et qu'il fallait impérativement qu'ils se renseignent sur le travail dans les bureaux de poste de leur province d'origine et qu'ils passent, tant que c'était encore possible, des concours pour passer à un grade supérieur de leur grade actuel.

Je repère très rapidement qu'un jeune homme me regarde fixement (contrairement aux autres) en étudiant chacune de mes paroles. Je suis alors décontenancé par son regard insistant et m'efforce de regarder tous les autres agents.

Après deux ou trois interventions des agents de ce service, ce jeune homme intervient enfin et me dit « Croyez-vous que moi, AEX SG, je doive passer un tel concours pour m'élever au grade supérieur, de contrôleur ? » Je lui réponds « Mais évidemment, votre formateur lors de votre cours initial d'AEX SG suivant votre nomination aurait dû vous le dire !... » Il m'a alors estomaqué en me répondant (ce qui a fait rire tous les autres ambulants présents) « Mais bien sûr qu'il m'en a parlé, vu que ce formateur... c'était vous lors de mon cours initial d'AEX SG au Centre de Formation du centre de tri de la gare Montparnasse, Monsieur Roger Lxxx, en 19xx ». Si jamais mon ancien élève se reconnaissait, il serait gentil de m’indiquer sur ce “Forum des Postiers” [soit par un message public, soit par un message privé] ce qu'il est devenu depuis lors à “La Poste”, ou ailleurs... Jusqu'alors je me vantais de pouvoir reconnaître tous les élèves que j'avais eu en formation, ce soir-là j'ai compris qu'il me fallait être beaucoup moins affirmatif sur ce point...

Sur l’ambulant “solo” “Paris à Chambéry” je portais la “bonne parole” de la DRANI sur la fin des services ambulants, mais en n’allant pas, comme l’aurait voulu François B. (le Directeur du “Réseau Sud”) voyager avec eux sur la brigade du “Paris à Chambéry” jusqu’à la gare de “Chambéry – Challes-les-Eaux” afin ainsi de voir les ambulants d’une seule brigade pour deux nuits de voyage, mais en descendant à la gare de Dijon pour la “croisière” et là attendre une heure et demi (le plus souvent dans le froid car l’entrepôt postal n’était pas chauffé !…) afin de revenir avec le “Chambéry à Paris”, ainsi je voyais les agents ambulants de deux brigades dans la même nuit.

Une fois les ambulants supprimés j’ai été affecté au Centre de Tri Postal de Trappes puis à la Direction de la Poste des Yvelines à Versailles [ [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ].

Comment s’est déroulée la fin de ma carrière à “La Poste” ? Eh bien, regardez ici : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] .

Pour terminer, je voudrais que les actuels responsables de La Poste soient un peu plus clairvoyants sur son avenir ; selon mon très modeste avis, ils sous-estiment en effet très gravement l’image positive que chaque français conserve au tréfonds de lui-même d’une lettre manuscrite, sous enveloppe avec un timbre, délivrée quotidiennement par le facteur, surtout dans une zone rurale, comme dans le département du Cantal, ce qui pour chacun d’entre nous (même pour vous, Monsieur Philippe Wahl, qui êtes né le 11 mars 1956 à Sarrable en Moselle, donc âgé de 68 ans) est – et restera – une “Madeleine de Proust” qui donnera confiance pour aller au bureau de poste (et non à “un point de contact avec le public”) se procurer un produit vendu par cette poste qu’il a connu durant son enfance et sa jeunesse.

La preuve : je n’ai toujours roulé depuis que j’ai eu mon permis de conduire le 2 mai 1969 qu’avec des véhicule de marque Renault (ma première voiture fut une “Renault 4”, avec trois vitesses alors que la “Renault 4L” en avait quatre) jusqu’à l’actuelle qui est une “Clio 2 hybride”. Eh bien, savez-vous ce que je constate en roulant dans les routes du Cantal en 2024 ? Que soudainement les voitures modernes qui me précèdent (et donc forcément celles qui me suivent) se mettent à ralentir et à klaxonner vigoureusement ; je dis alors à mon épouse « Tu vas voir, nous allons croiser très rapidement une “Deux Chevaux Citroën” (la mythique “Deudeuche”) et au bout de moins de trente secondes nous voyons effectivement, accompagnée par les multiples coup de klaxons et les appels de phares des véhicules qui nous suivent, la “Deux Chevaux” de notre enfance dont le conducteur nous salue avec son bras en allumant et éteignant ses phares pour nous remercier de l’avoir aussi salué…

Pour tout français qui a durant son enfance roulé dans cette très inconfortable voiture, la “Deux Chevaux Citroën” restera pour toujours sa voiture préférée. Voir : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] .

Et comme, ainsi que je l’ai dit dans le premier message de l’actuel sujet j’adore consulter les documents traitant de l’histoire de la Seconde Guerre Mondiale, j’ai appris que le prototype de la “Deux Chevaux Citroën” (dont le nom de code sera “TPV Citroën” (Toute petite voiture Citroën) avec seulement un phare, construit à seulement 49 exemplaires pour être présenté au salon de l’automobile d’octobre 1939 qui sera annulé à cause du début de la Seconde Guerre Mondiale, que son prototype a été la voiture française la plus résistante. En effet, la défaite de l’armée française en mai/juin 1940 et le début de l’occupation allemande verra les autorités nazies en France rechercher ardemment ces prototypes de “TPV Citroën”, or ils n’en trouveront aucun parce que les responsables de chez Citroën les cacheront soigneusement sous la paille dans des étables réservées aux vaches et aux moutons des environs de La Ferté-Vidame en Eure-et-Loir. Voir : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et surtout [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] .

Puisse l’évocation de cette mythique “Deux Chevaux Citroën” inciter les responsables actuels de “La Poste” à ne pas brader la réputation historique de la grande Maison Postale.  

Roger le Cantalien.   Shocked
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